J’ai participé le 22 janvier dernier au cycle parlementaire sur les spécificités liées à la santé de la femme et plus particulièrement autour de l’endométriose, de l’adénomyose et des règles douloureuses.
Monsieur Jean-Pierre Ayoubi, gynécologue, obstétricien et chef du service gynécologie obstétrique à l’hôpital Foch et Madame Yasmine Candau, Présidente d’Endofrance, nous ont fait part de leur expérience et des réalités de ces pathologies qui sont mal reconnues et toujours avec des diagnostics beaucoup trop longs (entre 7 à 10 ans).
D’après ces professionnels, les actions à mener pour une meilleure prise en charge et reconnaissance, seraient :
– former l’ensemble des professionnels de santé pour mieux identifier, diagnostiquer et accompagner ;
– sensibiliser dès l’adolescence pour plus de connaissances et permettre de lever les tabous.
Merci à Frédéric Valletoux, Président de la commission des affaires sociales, Véronique Riotton, Présidente de la délégation aux droits des femmes et Anne-Cécile Violland, Vice-Présidente de la délégation aux droits des femmes.
Suite à cette rencontre, j’ai alerté :
– Madame Catherine Vautrin, Ministre du Travail, de la Santé, de la Solidarité et des Familles concernant la situation vécue par de nombreuses femmes ;
– Madame Elisabeth Borne, Ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche pour une meilleure formation des infirmiers scolaires et pour l’intégration des spécificités de ces pathologies dans les programmes scolaires.
Vous pouvez retrouvez mes courriers ci-dessous.
